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les chiffres du digital en Bretagne

Digital, internet, webmarketing… la Bretagne en chiffres et en infographie !

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Infographie sur le digital et le webmarketing en Bretagne

Comment se porte le numérique en Bretagne ? Connectivité, internet, hébergement, enseignement… nous brossons ici l’ensemble du paysage breton. Pour parler d’une autre forme de connectivité, la Bretagne est également un bon réseau de start-ups, boostées par des pôles French Tech et des incubateurs de qualité !

 

En Bretagne, il y a de la place sur le web…

… comme dans les Monts d’Arrée.
En effet, l’offre et la demande forment un bel écart. 7 consommateurs bretons sur 10 achètent en ligne. Cependant, seulement 1 TPE bretonne sur 8 vend en ligne… Les petites entreprises bretonnes sont donc à la traîne. Les dirigeants des entreprises bretonnes ont donc tout intérêt à se pencher sur la digitalisation de leur société, surtout en local. Pour la création d’un site Internet breton en Bretagne , nous vous conseillons d’ailleurs de lire la suite !

 

En Bretagne, nous avons une extension de domaine !

Par extension de domaine, on ne parlera pas ici de Nantes (débat en vue !), mais d’informatique. Depuis le 5 décembre 2014, l’extension de domaine .bzh est ouverte à tous. Depuis les premiers sites créés avec cette extension régionale, de plus en plus de start-ups bretonnes utilisent le « .bzh » pour signer leurs URL. En mars 2015, on en comptait 4000, on estime à 6400 en janvier 2017.
L’association www.bzh vend les noms de domaine aux bureaux d’enregistrement à raison de 35 € HT pour une durée d’un an.
L’extension .bzh permet aux entreprises de gagner en confiance auprès de ses auditeurs… et de faire valoir sa proximité avec ces derniers. À noter toutefois qu’en matière de référencement, le .bzh n’apporte ni bonus, ni malus.

 

En Bretagne, nous avons des nuages… et des bons clouds !

Dans nos contrées de l’Ouest, même les nuages viennent chercher le soleil. C’est aussi le cas des datacenters comme ceux d’Asten ou encore du datacenter local Breizh Cloud. Autre exemple que celui de l’opérateur de Châteaubourg Bretagne Télécom qui propose ses services liés au cloud à des entreprises de toutes tailles. En 2017, la société bretonne indiquait vouloir diversifier « la gamme de produits Cloud, avec l’ajout d’offres innovantes comme le stockage en ligne hébergé en France, ou encore le backup et la réplication ». L’entreprise ajoutait également vouloir renforcer « les zones blanches à l’Ouest avec les infrastructures fibres dédiées de Bretagne Télécom ».

 

En Bretagne, nous resserrons les liens… avec une bonne connexion !

 Les zones blanches du réseau mobile sont les secteurs où votre smartphone ne peut pas encore capter Internet. En mai dernier, le programme national de développement de l’internet mobile visait à redonner des couleurs à 45 communes bretonnes… à l’instar de Lignol, Molac, Lanloup, Saint-Cadou ou encore Locmariaquer dans le Morbihan. Le conseiller municipal de cette dernière commune, prioritaire pour la suppression des zones blanches, a d’ailleurs récemment validé l’implantation d’une antenne relais.

Dans le Finistère, où l’on retrouvait en mai dernier quatre communes « zones blanches » de réception de téléphonie mobile devant être équipées d’un pylône, siège d’ailleurs l’irréductible petit opérateur Xankom. Ce dernier relève le défi de résorber le problème des zones blanches de l’Ouest armoricain.

 

En Bretagne, nous avons la fibre… digitale !

Le haut débit arrive également à grands pas dans nos terres celtiques. Dès 2030, l’ensemble de la région devrait ainsi bénéficier de l’accès à internet à haut débit. Megalis, le syndicat mixte des coopérations territoriales qui est chargé du développement du haut débit, prévoit la chose en trois phases :

  1. Jusqu’en 2018, raccorder 240 000 locaux ou foyers
  2. De 2018 à 2023, raccorder 400 000 locaux ou foyers en plus
  3. De 2023 à 2030, avoir recouvert les quatre départements bretons

 

En Bretagne, nous pansons les plaies… de la fracture digitale !

Avant d’avoir à panser, même, nous préférons penser. Pour guérir d’une fracture des connaissances informatiques entre les individus de sa population, la Bretagne a mis en place le Visa Internet Bretagne. Il permet aux chapeaux ronds de réaliser gratuitement un parcours d’initiation aux usages numériques, notamment le fonctionnement d’un ordinateur et de ses périphériques, et l’usage d’Internet dans la vie professionnelle et personnelle. Le CFP de Saint-Malo propose, par exemple, quatre sessions de deux heures pour explorer dix modules : la souris, le clavier, les composants d’un ordinateur, les périphériques, le bureau, les fenêtres, les fonctionnalités clés, la navigation Internet, les moteurs de recherche et communiquer par mail.

 

En Bretagne, nous avons de jeunes pousses prometteuses !

L’air marin semble rafraîchir les idées. Et Klaxoon n’en a pas manqué, d’air, pour lever ses 42,8 millions d’euros. Il faut dire que l’entreprise révolutionne intelligemment le système des réunions, à travers des applications et des produits visant à améliorer le brainstorming, libérer la créativité, faire croître la participation, etc. Hello Nautic, quant à elle, est parvenue à référencer 400 ports et mouillages sur son site dans l’optique de développer le nautisme collaboratif.

 

En Bretagne, les graines semées par les jeunes pousses portent leurs fruits

C’est bien connu, l’herbe est plus verte en Bretagne. Les jeunes pousses profitent elles aussi des vents favorables. En 2018 toutefois, le ticket moyen des levées de fonds est passé de 8 millions d’euros à 5,4 millions d’euros. Hormis les 42,8 millions d’euros levés par la société rennaise Klaxoon, les autres start-ups n’ont pas levé de grosses sommes. On peut quand même citer Turbotech qui a réussi à lever 3M €, Procsea 2,5M €, Mensia technologies 1,3M €, Smiile 1,3M €, Pretpro 1,3M €, Ecotree 1,2M €, Eolink 1M €, Biosency 0,8M € et E-mage-In 3 D 0,65M €.

 

En Bretagne, nous incubons des start-ups !

Le pays celte possède 19 incubateurs de start-ups. De l’Ille-et-Vilaine au Finistère, les structures d’accompagnement de projets de création d’entreprises offrent des services d’hébergement (matériel informatique, locaux…), de financement (subventions, recherche de fonds…) mais aussi de conseil (juridique, fiscalité…). Voici la liste des incubateurs bretons : Emergys, In Cube, Brest Startups, Digital Square, incubateur du Barreau de Rennes, Imt Atlantique Brest, Imt Atlantique Rennes, La Nurserie Numérique, Le Grenier du Numérique, Le Village by CA Cotes D’Armor, Le Village by CA Finistère, Le Village by CA Ille Et Vilaine, Le Village by CA Morbihan, Produit En Bretagne – Brest Business School, Regionsjob Start, Telecom Bretagne Brest, Telecom Bretagne Rennes, Innostart – Incubateur Rennes School Of Business et Pôle Startups – Incubateur Canon Bretagne.

 

En Bretagne, nous représentons aussi la French Tech !

Si l’on compte la Loire-Atlantique, la Bretagne compte trois French Tech, des déclinaisons locales de la French Tech lancée par le ministère de l’Économie :

  • FrenchTech Brest+, qui couvre la capitale du Finistère, mais aussi Lannion, Morlaix et Quimper. Elle a pour vocation de fédérer son écosystème numérique, sensibiliser à l’entrepreneuriat, accélérer les start-ups, internationaliser et digitaliser l’économie…
  • Nantes Tech rassemble également les acteurs de l’écosystème numérique de Saint-Nazaire. Elle rassemble des entrepreneurs, des investisseurs, des ingénieurs, des associations, des instituts de recherche… et toutes les entités s’engageant pour la croissance des start-ups.
  • FrenchTech Rennes Saint-Malo, alliée à la technopole Rennes Atalante.

Ces trois pôles French Tech ont un rôle primordial pour les entreprises voulant se lancer ou évoluer dans le digital.

Vous êtes un particulier ou une entreprise ? N’hésitez pas à réagir à cet article dans les commentaires et sur les réseaux sociaux !

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